Un long voyage qui part de la Hollande, traverse l’Asie et revient à Amsterdam, où Buddha to Buddha conçoit ses bijoux, qui sont ensuite fabriqués à la main à Bali. Une histoire qui commence en 1997 lorsque le Néerlandais Batul Loomans part en Inde à la recherche classique du sens de la vie. Entre méditation et réflexion sur des concepts plus profonds, Batul a commencé à concevoir un bracelet à maillons. Un choix non aléatoire, car les bagues qui composent le bijou de la fondatrice de la Maison sont aussi une représentation de l’union entre deux personnes. De plus, le bracelet devait être lourd, pour une représentation symbolique de la résistance. Le projet a ensuite été transformé en bijoux en collaboration avec un orfèvre local.
Bouddha à Bouddha est né ainsi. C’est aujourd’hui une entreprise qui crée des bijoux en argent, mais aussi en or 14 carats et en cuir, avec la contribution d’artisans de l’île indonésienne. Ce ne sont pas des bijoux ethniques de mauvaise qualité : bracelets, bagues et boucles d’oreilles sont dans une gamme premium. Par ailleurs, l’invitation de la Maison est de ne pas oublier les valeurs spirituelles à partir desquelles elle est partie. Le lien avec sa clientèle n’est pas hippie tardif, mais lié à une sensibilité et des goûts esthétiques très actuels, entre new age et sans genre. Les bijoux sont actuellement distribués en Europe du Nord, en Grande-Bretagne et aux États-Unis.
Bullet, c’est-à-dire des balles, mais pacifiques. En effet, à exposer sans crainte de susciter des réactions. Car les Bullets proposés par Brosway sont ceux d’une collection de cinq bracelets. La marque du groupe Bros Manifatture propose une série de bracelets composés de grosses perles de pierres naturelles, comme la malachite, l’agate du Botswana, le jaspe rouge, le lapis lazuli ou l’onyx, montées sur des fils d’acier aux finitions assorties aux pierres. La taille des bracelets est conçue pour convenir à un poignet masculin, mais rien n’empêche une femme de les porter.
Les bracelets Bullet ont un prix qui ne dépasse pas 40 euros, sauf pour le modèle en agate, qui atteint 59 euros. Toujours pour le public masculin, l’entreprise propose les bracelets de la collection Material, qui utilisent du cuir tressé, de l’acier et des pierres telles que le lapis-lazuli, l’œil de tigre ou l’onyx.
La haute joaillerie est (presque) toujours belle. Mais il est plus rare de trouver de la haute joaillerie à la fois belle et intelligente. La nouvelle collection Reversible Xpandable de Picchiotti correspond à ce portrait-robot. La collection, composée de neuf bracelets et de deux bagues, allie l’esthétique au luxe, mais aussi à l’ingéniosité. Ce sont des bijoux à double face : bracelets et bagues peuvent être portés en choisissant l’une des deux surfaces, externe ou interne (mais la distinction dans ce cas n’a guère de sens). L’opportunité double face est offerte par le mécanisme que la marque italienne de haute joaillerie basée à Valenza a depuis longtemps breveté. Xpandable est un système qui rend les bagues et les bracelets flexibles, sans faire apparaître de ressorts ni d’élastiques. Le résultat est un bijou particulièrement agréable à porter.
Les bijoux sont en or 18 carats, rose, jaune ou blanc, avec des diamants et des pierres de couleur comme l’onyx, la turquoise, le saphir, mais aussi le corail, la nacre et la céramique. Des colliers et boucles d’oreilles réversibles extensibles seront également bientôt disponibles.
Au cours de plus de cinq décennies de brillance, une plainte courante des femmes que j’ai rencontrées a été le sentiment d’hésitation à porter leurs beaux bijoux tous les jours, en particulier les diamants, ou le sentiment de limitation par rapport à la coordination des couleurs des pierres précieuses colorées. J’adore l’idée d’une technologie capable de résoudre des problèmes ! De la même manière que nous avons résolu les problèmes de dimensionnement des bagues et de fermoirs de bracelet encombrants avec notre technologie Xpandable, nous avons maintenant abordé le problème de la polyvalence du design. Nos nouveaux bracelets présentent des designs complètement différents : des diamants luxueux d’un côté et de l’or massif de l’autre, ou des saphirs d’un côté à porter avec des nuances froides dans la garde-robe et des rubis de l’autre pour les porter avec des noirs, des neutres et des tissus plus toniques. chaud. Nous venons de commencer ! Toute l’équipe de conception est ravie d’enthousiasme car les possibilités de combinaisons de conception sont infinies.
Giuseppe Picchiotti, fondateur de la Maison
La caractéristique des bijoux réversibles proposés par Picchiotti est aussi une plus grande adaptabilité aux besoins du porteur. Même si les bracelets sont des objets très précieux, ils peuvent en même temps convenir également à des situations ou à des tenues moins formelles, tandis que la surface opposée peut être utilisée pour une soirée ou une cérémonie. De plus, les bracelets et les bagues sont censés être empilables.
Les bijoux Couture de Yeprem
Si vous pensez toujours que porter des bijoux revient à mettre une bague au doigt, porter des boucles d’oreilles, montrer un collier ou entourer votre poignet d’un bracelet, vous êtes laissé pour compte. Le monde tourne et la joaillerie évolue, même la plus haut de gamme. Preuve en est Yeprem, une Maison de haute joaillerie qui s’est engagée depuis longtemps dans une nouvelle voie, comme dans sa ligne Couture. Aux côtés des bijoux traditionnels, Yeprem propose des compositions d’or blanc et de diamants qui épousent des parties du corps aux formes et à l’effet esthétique inhabituels. Ils sont définis comme des « bijoux pour la main » dans le cas de pièces destinées à traverser le dos et apparaître sur la paume.
Quant aux boucles d’oreilles, même Yeprem a choisi de les faire évoluer vers l’une des nombreuses nouvelles formes qui ont rencontré les faveurs du public. Et les bracelets ne sont plus seulement un cercle qui se porte au bout du poignet, mais des bijoux qui serpentent autour du bras et de la main, avec une autonomie surprenante. Les bijoux augmentent également la sensation de mouvement grâce au double choix de taille diamant, brillant et marquise.
La plage à votre poignet avec Hipanema
C’est la plage la plus célèbre du monde: la bande de sable sur la mer qui baigne Rio de Janeiro. Et Hipanema est la marque née à Paris, mais créée par deux jeunes femmes qui, précisent-elles, vivent dans la capitale française dans les arrondissements 7 et 18, Jenny et Delphine. Après leur voyage au Brésil, il y a une dizaine d’années, ils ont décidé d’apporter un glamour coloré au monde des bijoux européens.
Résultat: couleurs chaudes et lumineuses, fantaisie carioca, mais avec un goût parisien. Bref, tout le monde les aime. La marque s’est imposée tout d’abord pour les bracelets, très simples, riches en franges, couleurs, dorures, rubans, cordons et coquillages. Les bijoux ont également une fermeture magnétique qui facilite leur port. En plus des bracelets, des bagues, des colliers et des boucles d’oreilles suivent également le même style ludique. Les matières utilisées rappellent immédiatement l’atmosphère de Rio et de Bahia et personne n’a dit que l’on ne pouvait en porter qu’une seule à la fois. Ils sont également vendus en ligne.
Les bracelets ultra-vintage de Mark Davis, le vieux bakélite ramené à la vie ♦ ︎
Il y a des bijoux simples et populaires, comme les bracelets modulaires. Il y a les bijoux de luxe, comme les bracelets Cartier ou Bulgari. Et il y a des bijoux de niche, réservés aux fans d’un certain genre, comme les bijoux vintage. Enfin, il y a des bijoux ultra-niches. Ainsi définit sa production Mark Davis, qui a fondé sa marque en 1999, fièrement à Brooklyn, New York, où il produit fièrement ses bijoux. Pourquoi ultra-niche? Eh bien, parce que les bracelets, qui constituent une grande partie de la production, sont des pièces uniques. Pas seulement. Ils sont faits avec de la bakélite. Pas seulement. C’est de la bakélite récupérée à partir d’objets fabriqués avant la Seconde Guerre mondiale.
L’idée de produire des bijoux sophistiqués s’accompagne d’une éthique d’entreprise rigoureuse: pas de gemmes d’un groupe ou d’un pays qui s’engage ou soutient des activités illégales, inhumaines ou terroristes, pas de corail, d’ivoire ou tout autre matériel dérivé de la faune ou la flore répertoriée comme menacée ou menacée. Il s’oppose également à l’utilisation de corail et d’ivoire antique ou vintage. Enfin, chaque année, Mark Davis fait don de certains bijoux pour des événements de collecte de fonds à des organismes de bienfaisance. Cela dit, il ne reste plus qu’à regarder les bijoux Mark Davis. La plupart sont des bracelets rigides, même avec de l’acide, des couleurs vives, et avec des fils d’or et de petites pierres précieuses et semi-précieuses qui sont utilisées pour augmenter la valeur des bijoux. Les bracelets, qui constituent l’essentiel du catalogue, ont ensuite été rejoints par des boucles d’oreilles et des bagues, également en bakélite.
Masi de plus en plus extensible
Masi Gioielli, entreprise fondée en 1988 à Valenza, poursuit son tour du monde à califourchon sur ses collections : 2022, par exemple, a commencé avec VicenzaOro et s’est poursuivie avec Il Jck à Las Vegas. Les frères Umberto et Andrea Masi ont pour objectif de combiner les techniques artisanales avec les nouvelles technologies pour produire des bijoux de haute qualité. Masi Gioielli produit à la fois avec sa propre marque et pour d’autres entreprises. Les propositions comprennent à la fois des pièces au design traditionnel et moins formel et avec l’utilisation de pierres semi-précieuses telles que la tourmaline, le péridot, l’améthyste, la topaze, la citrine, la rubellite, la série quartz : rose, citron, fumé.
L’une des spécialités de l’entreprise s’appelle One Size : il s’agit d’une série de bijoux de la collection Onesize. Les bijoux ont une technologie invisible à l’intérieur qui les rend élastiques : les bracelets, par exemple, peuvent être portés sans avoir besoin de fermeture, car ils s’adaptent à la taille du poignet.
L’élément chance accompagne la vie de chacun. Qui sait si la nouvelle collection Breil, une marque lancée il y a des années par Binda Italia, portera vraiment chance à celui qui la porte. En effet, la nouvelle collection s’appelle My Lucky Collection et propose une ligne inédite en acier doré et zircone cubique qui diffère considérablement du style habituel de la marque, plus accordé aux designs agressifs. La collection se compose de 11 pièces, dont des colliers, des bracelets, des bagues et des boucles d’oreilles, conçues pour être portées et combinées dans différentes combinaisons et dans certains cas transformables.
La collection joue sur la forme allongée de l’œil, suggérée à travers un design simple, avec des zircons cubiques taille marquise qui viennent s’ajouter au tour de cou avec fine chaîne (prix : 59,90 €), à un bracelet double tour (49,90), un bague double (49.90), boucles d’oreilles pendantes à quatre franges amovibles (69.90) et un ensemble de trois clous d’oreilles (49.90). L’élément ovale est placé au centre du collier trois rangs (69.90) et du bracelet assorti (49.90), ainsi que dans trois bandes fines qui forment un ensemble (69.90). L’ensemble plus audacieux se compose d’un collier (69.90) défini par une chaîne en forme d’amande, d’une boucle d’oreille scintillante (39.90) et d’une paire singulière de boucles d’oreilles en forme de S (59.90). La capsule a été conçue en collaboration avec Giulia Salemi, jeune présentatrice et mannequin italienne d’origine iranienne.
Voici les bracelets gagnants de Première, un concours traditionnel qui se déroule dans le cadre d’Oroarezzo, l’événement italien du groupe d’expositions dédié au Made in Italy et à la joaillerie internationale à Arezzo Fiere e Congressi. En effet, ce n’est pas un seul bijou qui a gagné, mais 15 entreprises parmi les 58 participants au concours. Les bracelets, thème de cette édition, étaient répartis en trois catégories : créativité et design, créativité art et sculpture, créativité et paix, auxquelles s’ajoutait la “mention spéciale du jury”. Les gagnants du concours numéro 31 sont donc Leonardo Gioielli de L’Immagine, Maria De Toni, Mosca Guido, Veneroso, Alunno & Co (Créativité et Design). Arcadia Gioielli, Femar, Loto Preziosi, Gobi Preziosi et Anima (pour la catégorie Créativité, Art et Sculpture). Groupe Graziella, Orolò, Unoaerre Industries, Giordini (Créativité et Paix). La mention honorable a été décernée à Rial.
Les bracelets en compétition, avec la sélection du président honoraire de la Chambre nationale des acheteurs de mode et directeur artistique d’Oroarezzo, Beppe Angiolini, comprennent un peu de tous les types, de ceux avec pendentifs à ceux en or tricoté, des bandes rigides à la manchette, des bracelets multi-brins aux bracelets dits à la main, qui encerclent également les doigts.
Creatività e Design
Creatività, arte e Scultura
Creatività e Pace
Menzione speciale della giuria
Les rêves sont des désirs, vous savez. Et le rêve d’un amour qui dure dans le temps est commun à tous les amoureux. Un espoir ou plutôt un désir, encore plus présent le jour où l’on célèbre l’amour : la Saint-Valentin. Pour la fête des amoureux voici donc que Brosway interprète les rêves avec la collection Desideri (voeux). Au centre se trouve le cœur classique, symbole intemporel des sentiments du couple.
Le cœur est interprété dans une touche pop, avec une série de bracelets tennis. Les variantes incluent des pendentifs en acier avec des zircons cubiques blancs et des pendentifs en forme de cœur en émail rouge (49 euros) ou des pendentifs en double brin, avec des zircons cubiques en cristal et des pendentifs en forme de cœur en émail rouge. Mais la collection comprend également une large gamme de bracelets, également en PVD doré, avec des cristaux colorés et avec des cœurs en métal, ou avec un pendentif en forme de cadenas : un autre symbole qui s’est imposé au fil des ans comme l’icône d’une relation indissoluble.
Volcanique Emanuela
Les joyaux volcaniques uniques du design romain basés à New York, Emanuela Duca, y compris l’argent bruni, l’or et les diamants ♦
Culture européenne et formation artistique contaminées par un style essentiel, l’américain: Emanuela Duca, artiste romaine qui vit et travaille à New York, évoque dans ses bijoux cendres volcaniques et ruines antiques, modelées dans des formes aux contours nets et modernes, surfaces et terreux. Les bagues, bracelets et boucles d’oreilles sculptés dans la cire, puis forgés dans l’argent bruni, martelés, cintrés, blanchissés, paraissent très naturels, presque terreux et à la fois légers et délicats. Ils donnent le sentiment de quelque chose de primitif mais sophistiqué, simple mais structuré parce que sculptural. Un contraste en or, argent et diamants.
Avant de fonder sa maison de bijoux en 2005, Emanuela Duca a étudié la danse, la peinture et la sculpture à Rome. Pour cette raison, elle soutient que ses bijoux représentent une sorte de mariage entre le mouvement et la sculpture. La dernière collection d’Emanuela Duca s’intitule Svelare (dépliage) et se compose de pièces texturées en or et en argent parsemées de pierres précieuses.
Elles sont devenues à la mode grâce aux femmes qui se sont battues (se sont amusées) pour leur liberté dans les années 1920 ♦
D’abord, les plumes sont apparues, puis les franges et les glands. Les décorations qui ont animé les silhouettes sur les podiums des saisons passées sont désormais comme une vague qui submerge le monde des bijoux. Ce sont les détails incontournables de l’automne prochain: en or ou en bronze pour donner un peu de chaleur face au froid imminent, en cuir et en tissu à la saveur du Far West ou avec des perles très fines rappelant l’élégance des années 20, Plumes ethniques, comme les reines Masaï ou avec des perles très très populaires. Quels que soient le style et la longueur, ils sont toujours très féminins et donnent cette allure d’originalité, parfois audacieuse, à ceux qui les portent. L’important est de savoir comment combiner vêtements et accessoires pour éviter un effet excessivement théâtral.
Les franges et les pompons ont également un mérite qu’il ne faut pas sous-estimer : ils permettent d’allonger le visage ou le buste s’ils sont portés en collier. Mais, bien sûr, cela peut être contre-productif pour ceux qui ont un visage particulièrement allongé ou un torse fin et étroit. Dans ce cas, il vaut mieux éviter les franges et les pompons. Les bijoux de ce type ayant généralement un volume assez accentué, il vaut également mieux éviter d’associer pompons et franges avec des robes très élaborées, qui peuvent dérouter esthétiquement l’apparence.
Mais attention: les franges ne sont pas qu’un choix esthétique. En fait, ils rappellent l’histoire des Flappers. Tu ne sais pas qui elles étaient? Mal. Les jeunes filles ont réclamé plus de liberté dans les années vingt en Amérique. Pour briser les conventions étouffantes de l’époque, les flappers menaient un style de vie considéré comme scandaleux, immoral, dangereux. Les flappers voulaient plus de liberté économique, pour pouvoir exprimer leur opinion en politique et pour l’égalité des sexes.
Les jeunes flappers (l’origine du mot est inconnue) ont suivi la mode, fumé en public, bu de l’alcool, dansé dans des clubs de jazz. Ce sont eux, en fait, qui ont présenté les bagues les plus frappantes et les plus animées. De plus, ils adoraient les robes à franges. Une autre bonne raison d’aimer les bijoux à franges.
Les bijoux architecturaux de la designer sophistiquée Ena Iro : des bracelets inspirés de l’art ancien africain, japonais, byzantin…
Des bracelets inspirés des anciens masques de la tribu Punu, en Afrique centrale. Nous sommes tous d’accord pour dire que ce n’est pas un sujet très utilisé en bijouterie. Pourtant, le travail d’Ena Iro, qui vit et travaille à Genève, surprend. La jeune créatrice, née au Gabon, a commencé à étudier et à concevoir ses propres bijoux en 2010. Mais, par rapport au travail qu’elle fait, huit ans, c’est peu. La complexité architecturale de ses grands bracelets nécessite des mois de travail et, dans certains cas, même plus d’un an pour combiner tous les fils d’or qui composent la trame et la chaîne avec lesquels sont fabriqués les bijoux.
Ses bracelets, comme les bagues, sont grands, mais étonnamment légers et faciles à porter, et il y a quelques années ils ont surpris les visiteurs de GemGèneve, où la créatrice était présente. Un peu comme certains bijoux traditionnels africains. Pourtant, autre surprise, le designer aime associer les arabesques des mosquées anciennes et l’art populaire africain avec le style japonais léger. Le bracelet Eshira, par exemple, est le résultat de cette fusion, qui inclut également l’architecture byzantine.
Tiffany renouvelle l’une de ses plus célèbres collections, Atlas. Un X a été ajouté à la nouvelle ligne. Elle s’appelle en fait Atlas X. La collection s’inspire du motif graphique des chiffres romains qui marquent les heures de la montre Atlas de Tiffany, qui date de 1853 et se trouve désormais sur la façade de notre magasin phare de la Cinquième Avenue, New York. Avec une pointe d’ironie, Tiffany suggère également que les nouvelles créations Atlas X, aux lignes épurées et essentielles, servent également de rappel pour bien utiliser le temps. Un avertissement amusant pour une entreprise qui, comme cela arrive souvent dans le monde de la joaillerie, définit le style de ses bijoux comme intemporel.
Dans Atlas X, cependant, il existe trois motifs différents: fermé, X et ouvert. Dans les styles Fermé et Ouvert, les profils en lame de couteau, un code Tiffany depuis l’introduction de la bague de fiançailles Tiffany Setting en 1886, sont poussés à une échelle agrandie avec un fort impact visuel. Les chiffres romains gravés créent des reflets et des ombres nets qui soulignent les silhouettes. Style X présente des éléments entrecroisés de manière très moderne sur les boucles d’oreilles et les pendentifs. Dans la gamme des styles Fermé, Ouvert et X, de petits renfoncements en diamant sont également fournis. Un bracelet et une bague de la ligne Atlas X sont pavés de diamants sertis dans un motif en nid d’abeille qui maximise l’apparence des pierres et limite la présence de métal.
Les cristaux de Murano, dans la lagune de Venise, sont transformés en bagues, bracelets et colliers avec Antica Murrina ♦
À quelques kilomètres de la lagune de Venise, à Olmo di Martellago, Antica Murrina conçoit et fabrique ses bijoux inspirés de l’ancien verre vénitien. Perles travaillées à la main selon la plus ancienne tradition artisanale, cristaux, couleurs: la société fondée dans les années 80 allie le charme du lac à la singularité des cristaux. En fait, le traitement typique du verre de Murano signifie que chaque pièce est un peu différente de l’autre avec des inclusions de bulles et des transparences différentes, résultat du travail artisanal. Mais ce n’est pas tout: Ancient Murrina utilise également les cristaux les plus modernes de Swarovski.
Le résultat est des colliers, des boucles d’oreilles et des bracelets en rouge, argent, bleu et or. Le verre traité selon un procédé développé au fil du temps, est associé à des feuilles d’acier et d’argent ou d’or. Les prix sont assez bas: les colliers ne dépassent pas 150 euros. Pour la saison FW 2020-2021, Antica Murrina propose la collection Diva.
Des animaux à protéger avec La Petite Story
La Petite Story, marque de bijoux du groupe Morellato, est l’un des succès de ces dernières années. Lancé il y a quelques années, il s’est avéré être une idée gagnante au-delà des attentes. La marque de bijoux à prix abordable s’adresse aux plus jeunes et en particulier à ceux qui aiment la nature et les animaux. Présenté avec des illustrations aux graphismes captivants, il entame alors son voyage avec de nouvelles propositions. Et maintenant La Petit Story n’est plus petit, étant donné que pour le printemps été 2020 une série de quatre collections est prête.
L’une de ces collections s’appelle Save The Planet et est une ligne de bijoux créée avec des animaux et des espèces marines en danger d’extinction, à travers des symboles qui expriment l’amour pour la planète. Les bijoux, en effet, sont accompagnés de pendentifs représentant des animaux tels que le panda, le tigre et la tortue de mer. Les bracelets sont composés d’éléments métalliques et de pierres synthétiques colorées. Les prix sont très bas comme toujours: 35 euros.
Mais surtout des montres, mais aussi des bagues et bracelets: c’est la spécialité de Daniel Wellington, une marque qui sera désormais gérée en Italie en termes de communication par Aff, la société choisie pour les activités de bureau de presse et de stratégie média. Daniel Wellington a été fondé par le Suédois Filip Tysander et a adopté le nom d’un voyageur britannique sans faille rencontré par hasard. Un homme qui avait un penchant particulier pour ses montres vintage avec de vieux bracelets Nato (en nylon) marqués par le temps.
Le style de la marque est donc minimaliste et en même temps raffiné. Ce qui est défini comme le luxe accessible, qui sera désormais au centre de l’attention d’Alessia Fattori Franchini, fondatrice de la société milanaise du pr Aff.
Nouveaux bracelets Swarovski
Des bracelets pour l’été, puis pour l’automne et l’hiver signés Swarovski ♦ ︎
L’été, c’est l’heure des bijoux. Mais il en va de même pour l’automne et l’hiver. Simple, peu coûteux, vivant, résistant à la plage, à porter avec n’importe quelle mini-robe. C’est le cas de la Swarovski Power Collection, composée de plusieurs bracelets animés, déjà en vue du second semestre. Selon Nathalie Colin, directrice de la création chez Swarovski, “un bijou n’est pas simplement un accessoire de mode. Il a un sens beaucoup plus profond pour les femmes: c’est une expression de l’identité, capable de renforcer l’estime de soi et je suis convaincu que nous portons le pouvoir d’amplifier notre confiance en nous. Les femmes sont une véritable force de la nature et la Swarovski Power Collection en est le symbole. Cette nouvelle collection est capable de donner vie à une transformation véritable, brillante et libératrice.”
Les bracelets sont disponibles en trois styles et différentes nuances. Pour les 19 saisons automne-hiver, le bracelet emblématique et toujours populaire Slake de Swarovski subit une évolution, devenant le fer de lance de la collection Swarovski Power, avec Clear Crystal, Crystal Golden Shadow et Jet Hematite. Ainsi que les bracelets multi-tours dans les nuances Crystal Silver Night, Scarlet et Montana, avec les couleurs Amethyst et Emerald renouvelées.
Collection B Blossom de Louis Vuitton: la marque à répétition est la véritable star des bijoux ♦
Après la collection Blossom est venue la Star Blossom et, maintenant, c’est le moment de la Fleur B. On parle toujours de fleurs, mais de pétales particuliers: ceux qui composent l’étoile créée par Georges-Louis Vuitton en 1896. La marque la plus connue et copiée depuis des années se célèbre en se reproduisant sur des vêtements, des sacs et des bijoux. Tout comme dans les différentes versions des collections Blossom.
Les bijoux de la nouvelle ligne sont en or rose et jaune et en diamants et comprennent sept bagues, bracelets, boucles d’oreilles, pendentifs et colliers à chaîne.
Le monogramme de Vuitton est le roi incontesté de la collection. Au cas où quelqu’un douterait de sa marque, cela ne durera pas longtemps. En plus de l’or et des petits diamants, les bijoux utilisent des pierres semi-précieuses telles que la malachite, l’onyx, l’agate blanche et l’opale rose. Trois bagues sont chevalier, en pierre taillée ou en pavé de diamants. Encore une fois, inutile d’ajouter, avec la fleur en forme d’étoile en diamants sertie d’or blanc.
Un autre point fort de la collection est un bracelet en or avec cinq perles et diamants, ou onyx. Nous vous avons dit combien l’icône de fleur Vuitton se répète? Giulia Netrese
Des bracelets qui chantent Ligabue de Kidult
Bracelets avec des chansons de Ligabue dans une collection par Kidult ♦
Aimez-vous la musique de Ligabue? Maintenant, vous pouvez le faire chanter pour un bracelet. L’idée est de Kidult, une marque populaire de la société milanaise Mabina. Kidult a collaboré avec Luciano Ligabu pour sélectionner une série de phrases extraites de ses chansons, qui figurent sur les pendentifs de bracelets. Le résultat est la collection officielle Ligabue, une ligne de bracelets en acier de collection à collectionner portant des strophes du rocker émilien, parfois romantique, souvent mordante.
Qui ne connait pas les chansons de Ligabue? Qui ne les a pas chantés au plus profond de leur cœur? Beaucoup sont de véritables hymnes, des chansons libératrices et des contes d’une vérité extraordinaire. C’est précisément ce qui nous inspire dans la création de nos bracelets, des accessoires qui deviennent le sujet de conversation de chacun d’entre nous. Nous sommes honorés et fiers d’avoir pu collaborer avec Ligabue pour une nouvelle collection officielle. Les paroles de ses chansons sont des mots simples mais avec des messages forts et uniques. Des chansons qui racontent la réalité vue par les yeux sincères de l’artiste, dans lesquels de nous ont pu nous reconnaître.
Francesco Songa, directeur général et directeur créatif de Mabina
La collection se compose de 21 bracelets pour femmes et de six bracelets pour hommes de différents modèles: 27 créations pour autant de citations de 20 succès différents. Les phrases choisies sont des extraits d’histoires vécues, des réflexions sur la vie rendues à travers un imaginaire issu de la vie quotidienne. Prix: 34 euros.