La nouvelle collection extraordinaire de Lydia Courteille, Nuevo Mundo, vous emmène au Guatemala, des Mayas ♦ ︎
Si Lydia Courteille n’existait pas, il faudrait l’inventer. Car la designer parisienne est l’une des rares créateurs qui, avec les bijoux, raconte une histoire. En bref, son travail n’est pas exclusivement dédié à la recherche d’une esthétique personnelle, agréable et intéressante. Ce n’est pas juste ça. C’est aussi un tour du monde raconté à travers des collections toujours surprenantes.
Et voilà. Cette fois, Lydia Courteille prend tout le monde au-dessus du Guatemala. Après les sables du Sahara, les paillettes de Topkapi ou le mystère de Pékin, voici le charme des anciennes civilisations précolombiennes.
En fait, ce sont les anciens Mayas qui ont inspiré la collection Nuevo Mundo.
Et la plupart des temples des Mayas se trouvent en fait au Guatemala. Autour de ces ruines millénaires et de cet art populaire, Lydia Courteille a créé une collection exubérante pleine de couleurs, de fantaisie et de références folkloriques.
Comme dans le pendentif représentant San Simon, un mélange entre le panthéon spirituel de Dieu, Santo et Maya.
C’est un personnage qui boit, fume et parfois danse dans la fantaisie populaire. La statue qui le représente est habillée en cow-boy et est assise sur un trône. Les masques de Saint Simon sculptés dans le bois deviennent une partie intégrante du corps qui forme la tête. Les gens se tournent vers le saint pour lui demander l’amour et l’argent, la prospérité et la santé. Mais certains viennent lui demander des malédictions, comme un dieu païen.
Une double bague a plutôt la forme d’une poupée.
Selon la tradition maya, lorsque les enfants ont peur ou font des cauchemars, ils leur donnent des poupées à mettre sous l’oreiller avant d’aller se coucher. Pour la légende populaire, la poupée s’inquiète du problème et libère les enfants de l’angoisse nocturne.
Une grande bague célèbre la robe traditionnelle Huipil.
La Huipil est une blouse brodée portée par les femmes autochtones du Guatemala. Les vêtements sont tissés à la main, utilisant des techniques intemporelles transmises de génération en génération: un seul vêtement peut durer de un à six mois et indique également la personnalité et le village d’origine du porteur.
En bref, la collection Nuevo Mundo contient des pièces de haute joaillerie comme celles-ci, ou comme la bague de perroquet ou la bague avec le colibri qui aspire le nectar d’une fleur. Gros travail Giulia Netrese
Looking for Diane Venet’s collection i found your web site. Gorgeus. I’m an italian journalist who writes on art, collections, expositions etc. Would you please insert may name in your mailing list?
Thanks
Picci Manzari
Hello Picci, we are Italian journalists too 😉 Non abbiamo una mailing list, ma siamo contenti se ci vuoi seguire, ciao