D’Athènes à Tokyo, via Londres: la longue route de Melanie Georgacopoulos, créatrice grecque avec l’âme internationale.
L’École d’Athènes n’est pas seulement celle des anciens philosophes comme Platon, des architectes-sculpteurs comme Phidias ou dramaturges comme Eschyle. La Grèce abrite également une grande patrouille de créateurs, qui ont réussi à obtenir une visibilité internationale. C’est le cas de Melanie Georgacopoulos, née et élevée à Athènes d’un père grec et d’une mère française. Dès le premier, elle a reçu une passion pour les racines de la civilisation et de l’art de la Grèce antique, y compris les bijoux. Dès la seconde elle a hérité de la sensibilité est généralement le goût français. Melanie a maîtrisé l’orfèvre de l’art à l’Institut Mokume d’Athènes.

Ce profil international se reflète également dans sa production de bijoux raffinée: un design moderne, riche et minimaliste à la fois.
Elle a déménagé tôt dans le Collège d’Art d’Edimbourg (sculpture) et puis au Collège royal d’art (Maître en bijouterie). Plus tard, elle s’installe à Londres, où elle fonde sa société de bijoux en 2010: sa spécialité est la combinaison innovante de métal et de perles. De Londres à Tokyo: en 2012, elle a commencé à collaborer avec le bijoutier japonais Tasaki. Une idée qui a été couronnée de succès: la ligne de bijoux produite est maintenant appelé M / G Tasaki.

La créatrice a également concentré sa créativité sur la nacre, considérée à tort comme un sous-produit de l’industrie de la perle. La nacre est produite par les mollusques en tant que couche intérieure de la coquille et forme également le revêtement extérieur des perles. C’est un matériau solide, résilient et irisé qui est utilisé depuis des milliers d’années, principalement sous forme d’incrustation. Pour cela Mélanie Georgacopoulos a décidé de la mettre en valeur (et elle a très bien réussi). Lavinia Andorno




