La prochaine vente aux enchères chez Christie’s est ce qu’il aurait dû contenir l’ècrin d’une femme chic de la Paris aristocratique Belle Èpoque: au moins deux colliers de perles fines, deux bagues serties de diamants, de rubis et de saphirs, un sutoir de petits diamants en platine, un pair boucles d’oreilles en perles et diamants, trois clips et un bracelet en diamants et en pierres précieuses de couleur. Tous, bien sûr, signé par les plus grands joailliers de la capitale, comme Boivin, Cartier et Chaumet. Ils avaient invités très spéciaux: la provenance de certains lots, des morceaux vieux, mais toujours moderne, est princière. Par exemple, le fermoir d’un collier de perles est un don de la dernière souveraine de la France, l’impératrice Eugénie, le soutoir appartenait à Son Altesse Royale, la princesse Cécile Murat. Bien que l’anneau de Chaumet, d’un rare saphir du Cachemire, était la duchesse de Luynes, une famille mentionné dans les livres d’histoire, et même dans les romans d’Alexandre Dumas. En plus de cette collection, autres nombreux créatrice de bijoux Boucheron, Bulgari, Buccellati, Graff, Mauboussin, Tiffany et Van Cleef & Arpels. Bien sûr, plus récente, mais non moins élégant. Parce qu’ils représentant le goût et la personnalité des femmes qui les ont choisis.



