Des bijoux dédiés à la mer et à la nature : ils sont de Maddalena Bearzi, une créatrice italienne qui vit en Californie.
Une Italienne qui vit et travaille à Los Angeles, Maddalena Bearzi. Passionnée de bijoux, mais aussi de faune océanique, elle a pensé à combiner les deux et a créé des bijoux qui sont une manifestation de solidarité envers la nature de la mer. Bref, ce sont des bijoux écologiques. Ce n’est pas un hasard si la créatrice a commencé sa production de bijoux en combinant des tissus durables avec des éléments distinctifs solides tels que des métaux recyclés et des pierres naturelles, pour créer des pièces uniques. Chaque pièce est fabriquée à la main individuellement, principalement avec de l’argent et finie avec de l’or, avec des pierres précieuses et semi-précieuses. Mais elle utilise aussi le bronze, le laiton et le cuivre pour créer des formes originales.

Née à Vérone dans une famille d’artistes, Maddalena Bearzi a beaucoup voyagé et étudié la vie des animaux. Elle a commencé à transformer sa passion pour les bijoux artisanaux en un métier à part entière, mais elle a ensuite décidé d’étudier le travail des métaux à l’Université de Californie à Los Angeles. De plus, elle a acquis de l’expérience auprès du maître orfèvre et bijoutier Gordon Wainwright et du designer Harold O’Connor. Mais il ne faut pas oublier son travail scientifique : elle est titulaire d’un doctorat en biologie et travaille comme présidente de la Research and Environmental Conservation Society à but non lucratif. Vous étudiez les baleines, les dauphins et autres mammifères marins depuis plus de 25 ans. Il a également publié deux livres : Beautiful Minds : The Parallel Lives of Great Apes and Dolphins (Harvard University Press, 2008, co-écrit avec C. Stanford) et Dolphin Confidential : Confessions of a Biologist (Chicago University Press, 2012 ; avec croquis de l’auteur). Enfin, elle collabore également avec National Geographic.




e brava Maddalena
caspita, che intelligenza, che brio, che luminosa freschezza!
Complimenti vivissimi
Beppe Usigrazie