De nombreux bijoux et super montres parmi les étoiles de Van Cleef & Arpels. La Maison parisienne a présenté une nouvelle collection de haute joaillerie qui a le ciel comme source d’inspiration pendant la semaine de la couture. Les stars, en effet, sont l’un des sujets de prédilection des bijoutiers, mais le problème est de savoir comment traiter ce sujet avec créativité et originalité. Mission accomplie pour Van Cleef & Arpels, qui a assemblé une galaxie de 150 pièces. La collection s’appelle Sous Les Étoiles et a nécessité un travail énorme de la part des designers et artisans de la Maison. Les étoiles de la collection sont vues à travers un télescope qui se transforme en loupe et met en contact les satellites, planètes et comètes avec la peau du porteur.
La capacité reconnue des laboratoires Van Cleef & Arpels à créer même les pièces les plus compliquées se manifeste par la création de certains bijoux modulables, avec des colliers qui comportent des broches ou accueillent la gemme d’une bague, jusqu’à 11 variantes pour un même bijou. Un collier qui rend hommage à la comète de Halley est orné d’un diamant fantaisie jaune vif, avec une queue composée de diamants blancs et jaunes. Le diamant jaune central peut être retiré et utilisé sur une bague.
La haute horlogerie, quant à elle, est représentée par Planetarium, un garde-temps en or blanc 18 carats, or jaune et or rose avec saphirs colorés, grenats spessartites, spinelles noirs, aventurine, nacre rose, turquoise, émail et diamants et mouvement mécanique à remontage automatique avec module planétaire Christiaan van der Klaauw: un grand petit chef-d’œuvre. Le dernier détail intéressant est l’heure qui marque.
La collection Sous Les Étoiles, entre autres, perpétue une tradition de la maison de la place Vendôme, qui s’est déjà inspirée de la sphère céleste comme source d’inspiration pour la haute joaillerie. Ici, d’ailleurs, les références historiques et littéraires ne manquent pas, de Jules Verne à l’astronome du XVIIe siècle Johannes Kepler (italianisé dans Kepler) ou à l’érudit français Camille Flammarion. Et le résultat est exceptionnel.