Les bijoux d’Alina Abegg: quand l’or est quelque chose d’autres mondes ♦ ︎
La NASA n’a nié que partiellement, mais il est incontournable: les extraterrestres sont parmi entre nous. Non seulement: ils sont sur notre corps, où ils les ont mis nous-mêmes. Mais ce sont des bijoux, ceux d’Alina Abegg. La designer, née d’une mère allemande et d’un père suisse-canadien, a grandie entre l’Italie, l’Angleterre, la Suisse et l’Allemagne. Peut-être ce changement constant d’habitudes et de cultures l’a poussée à regarder au-delà des frontières. Plus, hors de toute la Terre. Ses bijoux, en fait, sont des aliens et des disques volants dans le style le plus classique. Mais pas seulement. Aux côtés de bagues et de boucles d’oreilles évoquant les extraterrestres, la créatrice propose également des bijoux plus communs aux Terriens, en or et pierres semi-précieuses.
Même l’origine sociale (la famille d’Alina traite du traitement de la soie pour le marché en Europe) a probablement influencé le style chic de ses collections, avec pierres précieuses et extravagance. Elle a certainement bien appris son travail avec une étude à l’Institut Marangoni à Londres, un diplôme en pierres précieuses à le Gia, à New York. Elle a lancé sa marque de bijoux, Alina Abegg, à Londres en 2016. Les rockets, les Ufo et les planètes ont bientôt été aimés: les formes géométriques, l’or et les gemmes multicolores servent à créer des bijoux raffinés et amusants. Qui sait ce que pensent les extraterrestres.
Mais pas seulement : la dernière idée est un collier avec nostalgie de l’enfance : le tour de cou Candy Girl s’inspire des colliers de bonbons colorés. Avec, en plus, un pendentif Pfefferminz en cristal de roche au centre d’un assortiment fruité de perles de bonbons spécialement sélectionnées sur un tour de cou en fil d’or recyclé 14 carats, qui peut aussi se porter seul. Les bonbons sont en fait de la calcédoine, de la chrysoprase, de la pierre de lune, de l’opale, du cristal de roche et de l’agate blanche.