L’édition de septembre 2024 de Milano Fashion&Jewels aura toujours lieu à la Foire de Rho du samedi 14 au mardi 17. Le samedi, l’entrée des visiteurs se fera uniquement sur invitation. De plus, les jours du 15 au 17 (dimanche-mardi) coïncideront avec Micam Milano, Salon international de la chaussure, Salon international de la maroquinerie et des accessoires de mode Mipel.
En trois jours, outre l’ouverture du samedi dédiée aux entrées exclusives avec invitation des exposants, il sera ainsi possible de mieux concentrer toutes les activités et événements spéciaux de l’événement, offrant aux visiteurs, acheteurs et journalistes présents, une à connaître et apprécier le potentiel de Milano Fashion&Jewels. Afin d’optimiser les possibilités de visite, un chevauchement partiel est également prévu en septembre (mardi 17) avec Lineapelle, le salon international du cuir, des accessoires, des composants et des tissus, prévu du 17 au 20 février 2024.
L’histoire de Tiffany & Co sur vitrine
Il n’est pas vrai que pour être aimé, il faut être jeune et peut-être mentir sur son âge. Tiffany, par exemple, tient à souligner sa date de naissance : 1837. Une année qui apparaît également dans sa nouvelle campagne publicitaire : With Love, Since 1837. Bref, pendant près de deux siècles la marque américaine, désormais française, avec ses bijoux, il est témoin de mariages, de fiançailles et de déclarations d’amour. Et, s’inspirant toujours de ses racines historiques, les images qui accompagnent la communication font allusion à la créativité de Gene Moore, designer et étalagiste américain qui a rejoint Tiffany en 1955 en tant que directeur artistique, puis vice-président. En fait, la vitrine est la première carte de visite d’une bijouterie.
Les collections de bijoux les plus importantes de la Maison, telles que Lock, T, Knot, HardWear, Sixteen Stone et Tiffany Setting, ont été visualisées par le photographe et réalisateur Dan Tobin Smith, qui a rappelé en photos et vidéos une série de vitrines créées par Gene Moore, entre coulisses théâtrales et allusions au courant artistique surréaliste. La campagne parle de l’héritage de la Maison, de l’origine de chaque collection et de pièces telles que le bracelet Lock, la bague Jean Schlumberger by Tiffany & Co. Sixteen Stone, les bijoux HardWear et d’autres créations.
Dan Tobin Smith a travaillé avec la décoratrice Rachel Thomas, y compris des modèles miniatures ou à grande échelle qui s’assemblent de manière transparente grâce à des changements de perspective. La campagne est une collaboration entre l’équipe créative interne de Tiffany et l’agence créative Tbwa\Chiat\Day LA.
Un film pour Serafino Consoli
La marque Serafino Consoli présente une vidéo, The Shape of Life, qui en plus d’être un véhicule de communication pour les bijoux, vise à devenir un manifeste des valeurs et de l’histoire de la marque. Située entre le Mont Rose et le Circolo Filologico de Milan, le centre culturel de la ville, la vidéo est interprétée par la danseuse et chorégraphe allemande Anne Jung, avec des éléments de danse et de sport : elle a participé aux Jeux olympiques d’Atlanta en 1996.
La vidéo est présentée comme un témoignage du parcours stylistique entrepris par Serafino Consoli, une marque née en 1959 dans une petite bijouterie du nord de l’Italie, dans la province de Bergame, qui porte encore aujourd’hui le nom de son fondateur. Les collections Brevetto et Serafino allient tradition et innovation : la technologie introduite par la marque rend les bijoux extrêmement flexibles, capables de s’adapter à toutes les tailles. Dans la collection Serafino, par exemple, les bagues peuvent se transformer en bracelets, avec deux manières de porter le même bijou.
Avec The Shape of Life, nous voulions créer un produit de communication nouveau et innovant. Pour sa production, nous avons identifié de jeunes professionnels qui ont apporté leur créativité et leurs idées nouvelles pour dépasser le concept de la publicité classique. Ensemble nous avons pensé ce projet, puis tourné et monté en un véritable film-manifeste qui, en quelques minutes et sans fioritures inutiles, parle, interprète et transmet les notions de nature, de relations humaines, de changements. Parce que la forme de la vie est changeante, comme nos bagues, qui durent éternellement, s’adaptant au temps qui passe. Pour nous, The Shape of Life n’est pas une initiative marketing simple et classique, c’est un projet qui vise à nous accompagner et à nous représenter en tant qu’entreprise et personne, car il enquête et compare la sensibilité et la beauté qui est en chacun de nous.
Ivan Consoli, PDG de Serafino Consoli
Le film est produit par la société de création et de production indépendante Jumpp, écrit et réalisé par Nicola Martini, sous la direction créative exécutive de Giovanni Verdicchio. La direction photographique est de Luca Costantini, la musique est de Daniele De Virgilio.
Un livre et une ligue pour l’Atelier VM
Atelier VM, une marque milanaise qui a décidé de célébrer cet anniversaire avec un projet et un livre publiés par Corraini Edizioni, fête son quart de siècle. L’Atelier VM, fondé par les designers Marta Caffarilli et Viola Naj-Oleari, a également organisé une rétrospective organisée par Milovan Farronato, 14 Via Cesare Correnti à Milan. Le livre est à mi-chemin entre journal intime, album de souvenirs et de réflexion : il retrace l’histoire de VM depuis ses débuts, avec les deux très jeunes amies, aujourd’hui à la tête d’une entreprise majoritairement féminine made in Milan. Le volume contient des dessins, des photos et une conversation avec les deux fondateurs, ainsi que des souvenirs personnels et des anecdotes. L’Atelier VM souligne sa capacité à innover avec les canons classiques de la joaillerie en valorisant l’aspect émotionnel lié à l’objet.
Le livre contient des textes de Domitilla Dardi, Milovan Farronato et Alessandra Pomarico, Marta Cappellolli et Viola Naj-Oleari en conversation avec Alessandra Pomarico. Par ailleurs, dix ans après avoir lancé L’Essenziale, l’idée des « bijoux soudés au corps », l’Atelier VM lance aujourd’hui le nouvel alliage baptisé 3Kt, composé d’or, de cuivre et d’argent.
Le programme du Musée du Bijou
Le programme 2024 du Musée de la Bijouterie de Vicence commence par le cycle de visites guidées de l’exposition Pop Beat Italia 1960-1979. Les visites des salles de la Basilique palladienne sont intitulées Le joyau des années soixante et soixante-dix : libre de créer. Au centre, les matériaux de bijouterie dans cette période de grande liberté créative, avec le phénomène de la bijouterie et de la bijouterie artistique, dont l’école de Padoue est un exemple. Les visites auront lieu les dimanches après-midi entre 16h30 et 18h00, les 24 mars, 28 avril, 26 mai et 30 juin (sur réservation). Prix réduit pour tous les visiteurs qui présentent le billet d’exposition dans la Basilique et réductions pour les résidents de Vicence et de la province. Le musée est le premier en Italie consacré exclusivement à l’art de l’orfèvrerie et de la joaillerie.
En mai, le programme comprend également une série de visites organisées avec le Musée diocésain de Vicence pour découvrir les joyaux de l’art sacré qui constituent le patrimoine de la ville : la couronne et le pectoral de la Madone de Monte Berico, patronne de Vicence, deux chefs-d’œuvre de l’art de l’orfèvrerie Vicence réalisé en 1900 à partir de bijoux préexistants de grande valeur, offerts en signe de dévotion par les familles de la capitale. Les visites sont prévues les dimanche 5 et 19 mai, à 10h, au départ du Musée diocésain, où il sera possible d’admirer les trésors qui ont inspiré les deux créations : le Reliquaire de la Sainte Épine (XIIIe-XIXe siècle), le Calice de l’église de Santa Corona (XVIIe siècle) et la Croix processionnelle de la Cathédrale (XVe siècle) conservées par les services éducatifs du Musée diocésain de Vicence. Le groupe se rendra ensuite au musée de la bijouterie voisin pour admirer la couronne et le pectoral, avec les commentaires experts de Stefano Soprana, qui a supervisé sa restauration, propriétaire de la bijouterie historique Soprana, située sous la basilique palladienne, où se trouvait autrefois l’atelier du maître Angelo Marangoni, qui a créé les deux œuvres.
Les activités pédagogiques et les ateliers pour tous les âges se poursuivent en 2024, pour explorer le processus de conception et de création de bijoux. Trois ateliers sont prévus pour les familles : le samedi 30 mars chacun découvrira les mystères des pierres avec la rencontre interactive Minéraux : matières précieuses, le dimanche 28 avril ce sera au tour de Ma précieuse mosaïque, tandis que le dimanche 26 mai l’atelier Eco se tiendra – des bijoux, centrés sur le thème du recyclage et des matériaux réutilisés.
Pour les adultes qui souhaitent s’essayer à la création de bijoux, quatre ateliers sont programmés avec la créatrice orfèvre Barbara Uderzo, dont les bijoux ont été exposés dans des galeries d’art et des musées internationaux, comme La Triennale di Milano, le Musée des Arts Décoratifs de Berlin, le Victoria & Albert Museum de Londres. Les rencontres, toutes le dimanche, seront consacrées aux différentes expressions du bijou : le 23 mars l’atelier Répétition et assemblage : du module au collier, le 14 avril Tissage et rivetage : du fil métallique à l’anneau, le 12 Mai Façonnage et rivetage : donnez forme à votre bracelet et le 23 juin Plier, enfiler, nouer : réalisez vos boucles d’oreilles aux couleurs de l’été. Le Musée du Bijou participe également à la Nuit des Musées, samedi 18 mai, avec des animations dédiées.
Les travaux ont commencé sur le nouveau Vicenzaoro
Ieg, la société organisatrice de Vicenzaoro, a décidé d’investir 60 millions pour agrandir les espaces de la Fiera Vicenza en vue du prochain événement, prévu du 6 au 10 septembre. Les travaux de réaménagement ont commencé, comme en témoignent les images, commentées par l’architecte Mario Vescovo, directeur du siège de Vicence d’Ieg, ainsi que directeur des opérations de la même usine : « Après la remise officielle de la zone de chantier en février dernier Selon l’entreprise lauréate de l’appel d’offres lancé par l’Ieg pour la démolition, les opérations de réhabilitation environnementale sont en voie d’achèvement pour commencer la démolition ultérieure du pavillon 2. Cependant, le démantèlement du pavillon 5 a déjà été achevé ces derniers jours.
La démolition des anciens pavillons sera achevée dans les quatre prochains mois, y compris l’enlèvement des fondations, afin de préparer le terrain pour la nouvelle construction sur la même superficie que le nouveau bâtiment d’environ 22 000 mètres carrés, conçu par le Studio GMP de Hambourg. . Le nouveau bâtiment sera développé sur deux niveaux et sera achevé au premier semestre 2026.
Sotheby’s vend une collection de 250 bijoux
Les grands bijoux reviennent à Genève avec la vente aux enchères Sotheby’s prévue le 14 mai. La vente aux enchères comprend une extraordinaire collection de bijoux de plus de 250 pièces de la plus haute qualité, rassemblées par un collectionneur européen passionné depuis cinquante ans : c’est l’une des plus importantes collections privées de bijoux de créateurs jamais mises aux enchères. C’est pourquoi la vente s’intitulait Iconic Jewels : Her Sense Of Style.
Lorsque vous tombez sur une collection de bijoux aussi époustouflante et substantielle que Iconic Jewels : Her Sense of Style, c’est un moment à couper le souffle, que vous savez que vous n’oublierez jamais. Cette collection, avec ses nombreux bijoux éblouissants provenant des marques les plus appréciées et des périodes de design les plus recherchées de l’histoire de la joaillerie, est véritablement unique en son genre et l’une des collections de bijoux privées les plus importantes que vous ayez jamais vues. Il s’agit d’une lettre d’amour incroyablement puissante et sophistiquée aux bijoux, de la part d’un collectionneur privé éclairé, qui, je le sais, inspirera d’autres collectionneurs et connaisseurs du monde entier.
Marie-Cécile Cisamolo, spécialiste des bijoux, Sotheby’s Genève
La collection est estimée entre 4,7 et 7,3 millions de francs suisses (soit entre 5,4 millions et 8,3 millions de dollars) et sera proposée en deux séances de vente : 46 bijoux seront proposés le 14 mai dans la vente des Magnificent Jewels, lors du salon Sotheby’s Luxury. Ventes à Genève. Cependant, 200 autres pièces seront vendues en ligne à partir du 2 mai et les offres se clôtureront le 16 mai.
La sélection est un hommage à la création joaillière du XXe siècle et une vitrine encyclopédique de ses pièces les plus emblématiques et de ses tendances les plus influentes, illustrées par les créations des maisons de joaillerie les plus prestigieuses dont Cartier, Van Cleef & Arpels, Bulgari, Boucheron, Chaumet, David Webb, Mauboussin, Marina B, Sterlé et Mellerio dits Meller. Une place particulière, avec 30 bijoux, est réservée à la Maison fondée par l’un des créateurs qui ont fait l’histoire du bijou : René Boivin. Célèbre pour ses bijoux finement travaillés et aux couleurs vives, le style de Boivin a exercé une grande fascination sur le collectionneur privé qui, au fil du temps, a acheté ce qui pourrait être la plus grande sélection d’œuvres du joaillier français.
Les pièces les plus précieuses
Parmi les lots phares figurent des créations de Bulgari, dont une exceptionnelle paire de boucles d’oreilles, serties de deux diamants Fancy Intense Yellow d’un peu moins de 10 carats chacun et ayant appartenu à la légendaire baronne de Portanova (estimation 400 000-600 000 francs). Socialiste américain. Aux côtés de l’imposante paire de boucles d’oreilles, est présentée une rare montre-bracelet Serpenti Theodorus, accompagnée d’un dessin original des archives Bulgari daté de 1968 (200 000-400 000).
D’autres pièces emblématiques incluent celles de Cartier, dont un bracelet Panthère de 1969 (250 000-350 000) et un exquis bracelet Tutti Frutti (200 000-400 000), un tour de cou et une boucle d’oreille de Marina B, finement sertis d’améthyste sculptée (30 000-50 000), ainsi qu’une parure Passe-Partout transformable des années 40 de Van Cleef & Arpels composée d’un collier, de trois broches et d’une paire de boucles d’oreilles clips (80 000-120 000).
Redéfinir le Bijou avec un noeud
Ridefinire il Gioiello revient au Musée du Bijou de Casalmaggiore (Crémone). 43 bijoux contemporains conçus par des artistes italiens et étrangers sont exposés (du 23 mars au 9 juin 2024). Le projet, né en 2010 d’une idée de la commissaire Sonia Patrizia Catena, est un concours annuel qui stimule la conception et la création d’un bijou contemporain. Pour cette édition, Redefining Jewelry a demandé aux artistes de concevoir un bijou qui valorise la mémoire des créations exposées au Musée du Bijou, les invitant à s’inspirer des plus anciens bijoux en forme de nœud pour en réinterpréter la structure et la signification à travers son propre langage contemporain et sa recherche artistique. .
Le musée a pour objectif de relier différents mondes, styles, époques et créations. Les bijoux sélectionnés proposent une revue basée sur le fil tissé : de l’étude formelle du nœud aux tissages, avec des bijoux qui mélangent les styles et les matières. A chaque édition, Redefining Jewellery accueille un artiste du monde de l’art contemporain pour parler de la thématique du concours. Cette année, l’artiste invitée est Marisa Iotti qui a tracé un parcours d’exposition intitulé Ànemos0 avec des sculptures, des installations et des œuvres d’art en fibre.
Seront également exposés les bijoux de Patrizia Giachero, lauréate du concours de bijoux contemporains organisé par la galerie Rossini de Milan en avril 2023, ainsi que les dessins de Carmela Barbato de la série Trame Mediterranee. Pour cette édition également, les gagnants recevront des prix spéciaux des partenaires culturels de Ridefinire il Gioiello. Les gagnants auront l’opportunité d’exposer à Milan dans la Galleria Rossini de Marco Rossini et aux Circuiti Dinamici pour le projet wunderkammera. Un artiste recommandé pourra obtenir une période de résidence artistique à La Stazione degli Artisti de Gambettola grâce au festival Bosco Urban Art Project, tandis que le Musée Bijou désignera un gagnant pour un point d’exposition temporaire dans les espaces du musée.
Qui participe
Andrea Benoni – Katalyxer, Atelier Effetti – Flavia Turone, Brigitta Petrovszki Lajszki, Chimajarno, Collezione Siku – Graziana Giunta, Cristina Croce, Cristina Lottero, de Cor produzioni, donidelmare gioielli di Emily DeVito e Roberto Coppola, Elena Berti Margià, Elena Ramaparelli, Elenadp Crea, Ellence, Elli Atelier Gioielleria Contemporanea, Ely Milano Jewelry, Erika Mazzola, FiloGioielli di Filomena Di Camillo, Francesca Romana Sansoni – Segni di terra, Gaia Descovich Jewels, Gianfranco Quartaroli – Circuiti Gioielli, Gioi Giulia Vignetti, La Chigi, Laetitia Autrand, Lamobijoux – Maurizio Mo, LeMari Riciclano, Luisa Capua – Z’Atelier, Maria Cristina Codecasa Conti – Le Troisième Songe, Michela Guatto, Monica Ungarelli, NearteNeparte art&craft di Anna Esposito, Oplà! Michela Deanesi, Paolacreart – Paola Marzoli, Paolella_Rakuecrochet di Paola Cisterni – Elena Ramparelli, Pasly – Pasqualina Tripodi, Patrizia Giachero, Roger Cavinatto, Rosalba Rombolà Gioielli, Rosella Catalano, Rovescio Pensieri d’arte di Roberta Pozzi, SilverStrass – Silvia Orani, Valentina Grotto, Vera Rossini – Cakes & Troubles
Tiffany Story exposée à Tokyo
Tiffany Wonder est le titre de l’exposition organisée à Tokyo qui rassemble des centaines de chefs-d’œuvre du design de la Maison américaine. L’exposition est installée à la galerie Tokyo Node, à l’intérieur de la Toranomon Hills Station Tower, dans la capitale japonaise, et se poursuivra jusqu’au 23 juin. Les billets sont disponibles jusqu’au 23 juin sur l’application Tiffany & Co., téléchargeable dans les magasins d’applications iOS et Google Play. L’exposition est l’occasion d’admirer les légendaires diamants et bijoux Tiffany qui ont marqué l’histoire de la marque la plus célèbre au monde. Dans les différentes salles, les visiteurs découvriront des objets exceptionnels, qui racontent près de 200 ans d’histoire de Tiffany & Co., comme le premier Blue Book, le premier catalogue de vente par correspondance, l’une des premières Blue Box.
Tiffany Wonder a pour objectif d’intriguer, d’informer et d’inspirer les visiteurs avec des créations uniques, allant de l’une des pièces de haute joaillerie les plus célèbres, la broche Bird on a Rock de Jean Schlumberger, aux innovations du système Tiffany Diamond, ou encore du Tiffany Setting pour arrêter. un diamant solitaire.
Tiffany & Co. s’inspire du Japon depuis des décennies, et la relation authentique et la longue histoire de la Maison avec cette région du monde n’ont fait que se développer. Notre dernière exposition présente certaines des créations les plus exceptionnelles, comme la première broche Oiseau sur un Rocher de 1965, conçue par Jean Schlumberger, l’un des designers les plus talentueux du XXe siècle. L’exposition, qui met en valeur le savoir-faire exceptionnel de Tiffany, son autorité inégalée en matière de diamants et son inventivité, transmettra la joie de la Maison à chaque visiteur.
Anthony Ledru, président et chef de la direction, Tiffany & Co
Les relations de Tiffany & Co. avec le Japon remontent à 1837, lorsque Charles Lewis Tiffany commença à proposer à ses clients une sélection de produits japonais importés, une rareté sur le marché américain. Bon nombre des meilleurs créateurs de la Maison, tels qu’Edward C. Moore, Louis Comfort Tiffany et Elsa Peretti, ont trouvé leur inspiration dans leur travail dans les arts du Japon. Une célébration du respect et de la créativité, avec différents points de l’exposition consacrés aux liens de Tiffany & Co. avec le Japon.
Villa Milan au Pad Paris
Après sa présence à GemGenève, la Villa Milano revient être présente sur un événement étranger. La maison milanaise fondée en 1876, également connue pour sa vaste offre de boutons de manchette ainsi que de bijoux, sera pour la première fois à Pad Parigi, qui fut la première foire, il y a 26 ans, à réunir en un seul événement les meilleures galeries internationales et françaises de design historique et contemporain. Du 3 au 7 avril, Villa Milano participera au Salone (Stand 31) sous le commissariat de Second Pétale, la galerie d’art parisienne fondée par Arina Pouzoullic, une entrepreneure qui a fondé sa galerie à Paris en 2019.
Alice Villa considère le monde de l’art comme une référence dans ses créations, où sa légitimité culturelle peut s’étendre, transcendant les éléments fonctionnels strictement liés à l’utilisation des bijoux. Un exemple est le bracelet inspiré du style architectural du Duomo de Milan.
Pad Paris et la collaboration avec Second Pétale représentent une nouvelle étape importante dans l’histoire de Villa Milano, je remercie Arina Pouzoullic de m’avoir donné l’opportunité de me pencher sur cette réalité. Aborder un univers encore quelque peu nouveau représente un défi important, mais je suis convaincue que la joaillerie a parfaitement le droit de pouvoir occuper une place significative dans le monde de l’art.
Alice Villa, PDG et directrice créative de Villa Milano
Marco Bicego à Shanghai
Les bijoux de Marco Bicego à Shanghai. La marque italienne de haute joaillerie poursuit son plan d’expansion internationale avec l’ouverture d’un magasin phare dans la grande ville chinoise, dans le prestigieux complexe Grand Gateway 66. Le centre commercial est l’un des plus grands et des plus populaires de Shanghai et une référence pour le district de Xujiahui, l’une des principales zones commerciales et pôle logistique de la zone sud-ouest de la ville. Le dôme de verre du centre commercial laisse entrer un maximum de lumière naturelle et crée un environnement chaleureux et accueillant pour les visiteurs. Le centre bénéficie de la présence de marques de luxe internationales, ainsi que d’un large choix de détaillants spécialisés dans les secteurs de la mode, de la beauté, de la bijouterie, de l’horlogerie, du sport et du fitness. D’une superficie d’environ 75 mètres carrés, la nouvelle boutique Marco Bicego est située au rez-de-chaussée du centre commercial, une zone qui accueille le plus grand nombre de visiteurs.
Le design présente des détails tels que des affichages raffinés et des lumières douces et délicates. À l’intérieur, nous trouvons des accents de marbre italien marron, des surfaces beiges douces et des armoires en verre contrastées, tandis que des fauteuils en velours rose créent une atmosphère relaxante et confortable. L’esthétique de la boutique reprend donc l’identité visuelle des magasins Marco Bicego à travers le monde, combinée à travers le savoir-faire artisanal qui distingue les bijoux de la marque : pour enrichir les espaces on retrouve également la typique sculpture en laiton qui reprend le motif à grande échelle. de la bobine, fabrication iconique et exclusive de la marque.
Cette boutique représente une belle vitrine au niveau international et une avancée importante dans la stratégie de croissance de la marque. Nous avons voulu créer un environnement raffiné et luxueux dans lequel offrir aux clients locaux et internationaux la possibilité d’apprécier la créativité et le savoir-faire du Made in Italy, en les accompagnant dans la découverte de la marque et des collections. Surtout dans notre secteur, l’expérience physique avec le produit est encore déterminante : le nouveau magasin phare de Shanghai deviendra un point de contact crucial pour un nombre toujours croissant de personnes qui pourront découvrir la marque, toucher les bijoux de première main. et laissez-vous inspirer par notre design. Mes sincères remerciements vont à notre partenaire local Chow Sang Sang pour nous avoir soutenu, au cours de toutes ces années d’étroite collaboration, dans le processus de construction de la marque sur ce marché clé.
Marco Bicego, fondateur et directeur créatif de la marque
Concours et prix à GemGèneve
Comme toujours, GemGenève allie l’utile à l’agréable ou, plus précisément, l’utile à des moments de formation. La huitième édition prévue du 9 au 12 mai à Palaexpo de Genève ne fait pas exception. Aux côtés des bijoux et joyaux des exposants, des rencontres et des projets pédagogiques développés tout au long de l’année en collaboration avec les huit écoles partenaires. Les étudiants de Head, de l’Ecole Technique Vallée de Joux, du Cpne Pôle Arts Appliqués, du CFP Arts Genève et de l’Institut de Bijouterie de Saumur sont invités à exprimer leur créativité et à soumettre pour la première fois leur travail à des professionnels. , de la Société Royale Belge de Gemmologie, de l’Ecole Galdus et de l’Institut Francesco Degni, qui ont l’opportunité d’exposer leurs projets.
GemGenève a également développé un programme de mentorat artistique. L’initiative, née d’une idée de Mathieu Dekeukelaire, permet de construire des ponts entre le présent et le futur, en fédérant une communauté qui reconnaît la juste valeur dans l’apprentissage et la transmission des savoir-faire.
Gemgenève X Head en collaboration avec le Grand Théâtre de Genève
Pour la quatrième année consécutive GemGenève offrira à une quinzaine d’étudiants de Head, seule école en Suisse à proposer un baccalauréat en design de produits, bijoux et accessoires, l’opportunité de leur première exposition autour d’un thème librement inspiré de la programmation du Grand Théâtre de Genève. Les visiteurs du salon pourront découvrir une série de projets inspirés de l’opéra Le Chevalier à la Rose de Richard Strauss. L’idée est d’imaginer un bijou qui symbolise l’engagement, mais qui soit aussi un véritable accessoire. Bague, collier, bracelet ou diadème : le bijou doit être visible de loin et réalisé exclusivement avec des matériaux recyclés, récupérés ou insolites. Tous les visiteurs de l’exposition seront invités à voter pour leur projet préféré.
Premier concours de photomicrographie
Cette année, GemGenève propose à ses visiteurs une expérience gemmologique poétique. Dans l’espoir de découvrir la beauté des pierres précieuses d’une manière insolite, le salon a développé un projet artistique original en collaboration avec la gemmologue Marine Bouvier, l’Institut de Bijouterie de Saumur et la Société Royale de Gemmologie de Belgique. GemGenève accueille la première exposition de photomicrographies. Près de 20 projets photographiques réalisés par les étudiants des deux propositions de formation partenaires seront dévoilés pour la première fois au public, pour révéler la beauté des pierres précieuses et colorées en sublimant leurs inclusions. En révélant les formes, textures et couleurs inépuisables des pierres précieuses, Marine Bouvier a créé une nouvelle façon de pratiquer la gemmologie. Pour ce premier concours, le gemmologue passionné a initié les étudiants à l’art de capturer la beauté des minéraux.
Pour sa 8ème édition, GemGenève poursuit sa collaboration avec Laura Inghirami et Mathieu Dekeukelaire, qui ont créé un concours inédit sur le thème mystique de l’animal totem. Les créatures de la faune, source d’inspiration inépuisable, ont toujours stimulé l’imagination des joailliers. Utilisant l’animal comme défi créatif, GemGenève propose aux jeunes prodiges de l’École Galdus et de l’Institut Francesco Degni de créer leur premier bestiaire. Certains projets, interrogeant le lien symbolique entre le monde humain et le monde animal, se sont révélés particulièrement poétiques.
GemGenève décernera également six prix récompensant les projets les plus créatifs. La cérémonie de remise des prix sera présidée par Mathieu Dekeukelaire, directeur de GemGenève, en présence de toutes les institutions ayant collaboré aux différents projets.
Pour offrir aux étudiants l’opportunité de développer leur premier projet professionnel d’excellence, GemGenève a lancé son premier concours de gouache en 2022. Grâce au succès du concours, qui engage les étudiants pendant plusieurs mois, GemGenève est devenue un tremplin. Le concours de gouache, soutenu par le Prix de la Fondation Eric Horovitz, est très apprécié des opérateurs du secteur et est organisé chaque année avec le soutien de l’Asmebi (Association Romande des Métiers de la Bijouterie). La gouache, ou gouache, est une technique de dessin utilisée en joaillerie et un point de référence pour les modélistes, bijoutiers, gemmologues, polisseurs et sertisseurs dans chaque phase de la création d’un bijou.
L’or au record, va-t-il continuer à monter ?
L’or a atteint un plus haut historique : va-t-il continuer à monter ? Ou s’agissait-il simplement d’un incendie destiné à s’éteindre ? La réponse intéresse aussi bien le monde de la joaillerie que ceux qui investissent dans le métal jaune. Tout le monde sait que l’avenir est imprévisible, même pour les analystes les plus expérimentés. Il est cependant possible de dresser un tableau qui peut offrir quelques indications.
Début mars, les prix de l’or à New York dépassaient les 2 140 dollars l’once, avec un pic à 2 145,40 dollars. Pourtant, le précédent record avait été atteint seulement trois mois plus tôt : le 4 décembre, la valeur de l’or s’était élevée à 2 135 dollars, pour ensuite retomber. Le point fondamental cependant, selon les experts, est le dépassement de la barre des 2 000 dollars à la mi-février : un seuil psychologique, qui ouvre à tout scénario, à tel point qu’en une semaine le métal jaune a augmenté d’environ 100 dollars. .
Pourquoi la valeur de l’or a-t-elle autant augmenté ? Il y a deux facteurs principaux : les tensions géopolitiques qui poussent vers les actifs refuges et les manœuvres des grands fonds d’investissement. Le premier facteur est simple à comprendre : la guerre au Moyen-Orient, la guerre en Ukraine, les élections américaines qui peuvent être un facteur d’incertitude supplémentaire. Des raisons qui poussent de nombreux investisseurs à miser une partie de leur argent sur la solidité de l’or. Ce facteur conditionne certains fonds d’investissement qui, également grâce aux algorithmes qui déterminent les choix de portefeuille, rejoignent la tendance. Ils alimentent ainsi davantage la hausse des prix.
Attention : il ne s’agit pas d’un mécanisme automatique, destiné à se répéter indéfiniment. Un autre aspect qui affecte le prix de l’or est, par exemple, l’évolution des taux d’intérêt. Les investisseurs s’attendent à ce que la Réserve fédérale, la banque centrale américaine, réduise ses taux alors que l’inflation semble sous contrôle. Cette anticipation affecte le rendement des obligations d’État américaines et le prix des bons du Trésor reflète déjà en partie ces attentes. Si la valeur des obligations chute, pensent de nombreux investisseurs, une alternative consiste à acheter de l’or. Bien entendu, si la Fed ne baissait pas les taux et que les guerres dans le monde mettaient fin ou, au moins, trouvaient une trêve, l’or perdrait probablement une partie de son attrait, avec une baisse des prix.
Dave Meleski, président et chef de la direction de Richline Group, a été élu président du Responsible Jewellery Council. Le RJC est la principale autorité en matière de normes mondiales en matière d’horlogerie et de bijouterie, travaillant avec ses membres du monde entier pour créer une chaîne d’approvisionnement durable depuis la mine jusqu’à la vente au détail. Elle a été créée en 2005 par 14 marques et institutions financières de premier plan dans le but de transformer le développement durable d’une réflexion secondaire en un moteur majeur du changement. Elle compte aujourd’hui plus de 1 800 entreprises membres dans 71 pays. Meleski remplace David Bouffard qui quitte son poste, après avoir été élu en 2018 pour deux mandats de trois ans.
Il s’agit d’un moment critique pour que le RJC continue de croître et de diriger la chaîne d’approvisionnement mondiale en établissant les normes de notre industrie. Richline a été impliquée au niveau du conseil d’administration et des comités depuis la création du RJC, et en tant qu’entreprise manufacturière mondiale avec des clients de détail dans le monde entier, nous avons contribué à promouvoir l’importance du RJC en tant que notre voix unique pour les normes de conformité.
Dave MeleskiCe fut un honneur de servir en tant que Président du RJC pendant six ans – une expérience vraiment stimulante mais enrichissante d’une vie, en particulier en représentant Signet, l’un des membres fondateurs du RJC. Des sociétés comme Signet et Richline, ainsi que des membres estimés de leur équipe et de leurs conseils d’administration, ont transformé le RJC au cours des 20 dernières années, passant d’une organisation comptant 14 membres fondateurs lors de son lancement en 2005 à une organisation qui se renforce chaque mois avec plus de 1 800 membres. date.
David Bouffard, Président sortant du RJC et Signet Fellow des Affaires Industrielles
Melanie Grant, directrice exécutive du RJC, rapportera directement à Meleski. RJC aimerait également remercier Edward Asscher, président honoraire d’Asscher Diamonds, pour s’être porté volontaire pour se présenter à la présidence et il restera vice-président de l’organisation.
Art et bijoux à Rome
Bijoux et arts figuratifs à la galerie Incinque Open Art Monti à Rome. L’espace accueillera l’exposition Sinopie d’Emiliano Alfonsi du 16 au 30 mars dans le cadre du projet Incinque Jewels organisé par Monica Cecchini. L’objectif est de faire dialoguer le bijou contemporain avec d’autres formes d’art. Le projet Sinopie, organisé par l’historienne de l’art Carmen Bellalba, est né comme un projet itinérant avec l’intention d’être diffusé à l’échelle nationale parmi les musées, les espaces d’exposition et les lieux de culture. Alfonsi, né en 1980, réalise ses œuvres en utilisant une technique ancienne datant de 1400, la peinture aux œufs, pour des sujets qui rappellent la Renaissance toscane et flamande, mais aussi les préraphaélites.
Pendant la période d’exposition de Sinopie, sera également inaugurée jeudi 21 mars l’exposition du lauréat de la Rome Jewelry Week 2023, Francesco Ridolfi, qui se comparera aux créations d’Emiliano Alfonsi et des autres artistes résidents d’Incinque Jewels. Ridolfi a été sélectionné comme premier prix du Incinque Jewels Award, sur le thème Second Life, pour son bijou Vite parallèle. «Deux mondes parallèles, l’un naturel et l’autre artificiel. Un nouvel horizon qui s’ouvre à de nombreuses possibilités ou un destin aliénant qui va nous changer à jamais ? D’un côté se trouve un cœur battant lié à deux racines d’un arbre, de l’autre un code binaire et une puce électronique. Les deux univers coexisteront probablement, seul l’homme en décidera”, explique l’artiste.
Les œuvres, certaines inédites, d’Emiliano Alfonsi seront exposées et pour Incinque Jewels les bijoux de Myriam Bottazzi, Detailsdattimi, Chiara Fenicia, Claudio et Roberto Franchi, Angela Gentile, Emanuele Leonardi, Paolo Mangano, Maria Patrizia Marra, Matuta bijoux, Maria Gaia Piccini, Anna Pinzari, Francesco Ridolfi, Simone Vera Bath et Lorella Verrillo.
Ribas Jewellery PR revient à Clara Garcovich
Ribas Jewellery sera suivi par l’agence de communication Clara Garcovich. Pour Ribas Jewellery, société de joaillerie et de diamants fondée en 2002, l’agence gérera toutes les activités de communication intégrées et cross-média, avec les activités de relations médias, bureau de presse et RP, Digital PR, Events.
Ribas Jewellery a été fondée en 2002 à Tel Aviv par Patrik Ribas, grâce à sa grande expérience dans le secteur du diamant et de la bijouterie, c’est aujourd’hui une entreprise reconnue dans le monde entier. Avec son siège social à Vilnius, en Lituanie, des bureaux de création en Toscane et un magasin phare à Florence, Ribas Jewellery conçoit, crée, distribue et vend des bijoux en or de luxe composés de diamants, saphirs, émeraudes, rubis et autres pierres précieuses. L’objectif de la marque est de rendre les diamants accessibles à tous, grâce à un positionnement prix de départ attractif, malgré la grande qualité du produit garantie par l’Israeli Diamond Exchange dont Ribas Jewellery est membre.
Ribas Jewellery connaît aujourd’hui une forte expansion, avec trois magasins monomarques à Vilnius, un magasin à Kaunas et un magasin phare en Italie à Florence, référence de référence. Nous avons récemment finalisé quatre autres nouvelles ouvertures dans les pays baltes, mais le marché italien est surtout fondamental en termes de positionnement, d’où la collaboration avec l’agence Clara Garcovich qui vise à développer un nouveau plan de communication stratégique.
Patrick Ribas
L’agence, fondée en 2002 par Clara Garcovich, s’occupe de relations publiques et de communication intégrée avec une approche multidisciplinaire et non conventionnelle, spécialisée dans les secteurs de la mode, de la beauté, de la bijouterie, du lifestyle, du voyage et de l’hôtellerie, de l’alimentation et des boissons, du design et de l’architecture, de l’automobile et de la finance. , capable de proposer et de développer des stratégies sur mesure grâce à une équipe créative et innovante d’experts en langage de communication. À partir de 2023, l’agence a élargi ses services en ajoutant une nouvelle branche de conseil en développement stratégique des marques.
Le 28 décembre 2023, est décédé l’un des plus grands artistes de la taille de pierres précieuses, Tom Munsteiner, fondateur de l’Atelier Munsteiner. C’est une grande perte : Munsteiner n’était pas un simple sculpteur, mais un créateur capable de donner des formes inhabituelles aux pierres précieuses et semi-précieuses. Les affaires de la Maison seront désormais poursuivies par son épouse Jutta et Philipp Munsteiner, leur fils, ainsi que leur équipe en Allemagne. L’Atelier Munsteiner est une entreprise familiale de sculpteurs et de créateurs de bijoux située à Stipshausen, en Rhénanie-Palatinat. Le laboratoire est dirigé par la famille Munsteiner et jouit d’une renommée internationale.
La famille en est à sa troisième génération dans le secteur de la joaillerie, parmi laquelle se trouve Bernd Munsteiner, le fils de Viktor, qui a fondé l’atelier à Stipshausen en 1973. Dans les années 1960, Bernd Munsteiner se distinguait des bijoutiers de l’époque avec ses coupes Fantasy, une nouvelle approche de l’art lapidaire. Ce style original, qui brise les canons de la joaillerie traditionnelle, a inspiré son fils Tom, dont le travail présente un style sans égal, entre l’art du facettage et la sculpture.
Tom Munsteiner n’était pas seulement sculpteur de pierre, mais aussi gemmologue et, entre autres, il concevait également des fenêtres. Son épouse, Jutta Munsteiner, est orfèvre et s’occupe d’assortir les pierres aux bagues, bracelets ou colliers.
Tiffany à New York avec 70 œuvres exposées
La nouvelle Tiffany & Co. de LVMH inaugure immédiatement une relation privilégiée avec le monde de l’art contemporain. Aujourd’hui, elle fait plus et présente 70 œuvres d’art contemporain de 26 artistes dans son magasin le plus prestigieux, The Landmark, celui de la Cinquième Avenue. L’exposition est intitulée Culture de la créativité (4 mars-20 mai 2024). Les pièces exposées sont celles de la collection privée de l’architecte Peter Marino, de la Peter Marino Art Foundation de Southampton, New York. Les œuvres sont installées dans l’espace d’exposition de Tiffany sur deux étages, niché dans le bâtiment phare de dix étages.
Il y a 26 auteurs des œuvres, auxquels s’ajoutent des chefs-d’œuvre en argent sterling Tiffany & Co. de Peter Marino des années 1880. À la base, l’exposition est un hommage au rôle joué par la créativité chez Tiffany & Co., rendu possible grâce à la Peter Marino Art Foundation et aux décennies de mécénat artistique de son fondateur. La collection personnelle d’œuvres d’art de Peter Marino se développe depuis plus de 40 ans.
Nous sommes incroyablement honorés d’avoir l’opportunité de collaborer à nouveau avec Peter Marino dans le cadre d’un partenariat créatif pour la première grande exposition de The Landmark. Il est l’architecte visionnaire qui a transformé les intérieurs de notre bien-aimé magasin de la Cinquième Avenue en remplissant ses dix étages d’œuvres d’art. Peter a réinventé le Landmark en un monde d’émerveillement et un centre culturel. Il n’y a pas de meilleur endroit que lui pour exposer votre collection.
Anthony Ledru, PDG de Tiffany & Co
Depuis sa fondation en 1837, l’art et l’artisanat font partie de l’ADN de Tiffany. En 1853, la Maison commence à exposer des œuvres d’art prêtées que les visiteurs peuvent admirer lors de leurs achats. À la fin du XIXe siècle, le fils du fondateur Charles Lewis Tiffany, Louis Comfort Tiffany, devient le premier directeur artistique de la Maison, ouvrant ainsi la voie à une nouvelle ère dans l’art et le design de la joaillerie. Aujourd’hui considéré comme le leader du mouvement Art Nouveau, il est l’un des artistes américains les plus appréciés de son époque.
Outre Louis Comfort Tiffany, la Maison a une longue histoire de collaborations créatives avec des pionniers tels que Jean Schlumberger, Paloma Picasso, Elsa Peretti, le Dr George Frederick Kunz, Gene Moore, Andy Warhol, Frank Gehry, entre autres. L’exposition Culture of Creativity présente certaines de leurs œuvres, ainsi que d’autres chefs-d’œuvre contemporains, soulignant le dévouement continu de Tiffany & Co. à promouvoir l’expression artistique et l’enrichissement culturel.
Culture of Creativity présente une collection d’œuvres d’art spectaculaires dans une variété de médiums de Jean-Michel Basquiat, McArthur Binion, Sarah Charlesworth, Francesco Clemente, Johan Creten, Andre Dubreuil, Roe Ethridge, Urs Fischer, Hans Hartung, Molly Hatch, Gregor Hildebrandt, Damien Hirst, Jenny Holzer, Rashid Johnson, Y.Z Kami, Les Lalanne, Peter Marino, Vik Muniz, Michelangelo Pistoletto, Antoine Poncet, Richard Prince, Julian Schnabel, Sarah Sze, Louis Comfort Tiffany, Not Vital et Stanley Whitney.
L’exposition Culture de la créativité, hébergée sur deux étages des trois étages de verre supplémentaires du Landmark. Pour visiter l’exposition, il faut réserver, mais l’entrée est gratuite.
Oroarezzo fait place à la mode
Oroarezzo 2024 revient du 11 au 14 mai, la plateforme internationale pour la production industrielle de bijoux signée par le Groupe Italien des Expositions qui se déroule à Arezzo Fiere e Congressi. Avec une nouveauté : l’événement s’ouvre aux entreprises de la supply chain de la mode. La 43ème édition organisée comme toujours par l’Ieg enrichit la mixité des expositions. C’est également le premier acte de Matteo Farsura, nouveau Global Exhibition Manager de la division Jewellery & Fashion d’Ieg.
La nouveauté est Precious Fashion, un espace dédié à la chaîne de production d’accessoires de mode avec un accent particulier sur le Made in Italy. Marques, designers et bureaux de style pourront entrer en contact avec des entreprises leaders dans les technologies de finitions de haut niveau, de fabrication innovante, de processus efficaces et durables au service du secteur de la mode et du luxe. Dans cette section, il y aura un espace pour l’excellence italienne dans le traitement chimique et galvanique des métaux et les entreprises les plus appréciées produisant, soudant et assemblant des accessoires et décorations métalliques.
La vaste offre axée sur la meilleure production d’or et de bijouterie, qui répond aux besoins du marché en matière d’approvisionnement de qualité pour le développement de créations uniques et de marques privées, soutenue par l’espace cash & carry, s’enrichit d’une section pour la production et la transformation. de l’accessoire de mode.
Matteo Farsura, responsable mondial de l’exposition Joaillerie et Mode chez Ieg
Le programme incoming pour acheteurs, grâce à la collaboration avec Ice, l’Agence pour la promotion des entreprises italiennes, vise le jumelage d’affaires en regardant les marchés d’exportation consolidés, c’est-à-dire l’Europe de l’Est, les États-Unis et le Moyen-Orient, jusqu’au Sud. Asie de l’Est et Amérique du Sud. On attend également au salon une sélection de détaillants italiens particulièrement intéressés par l’offre de l’espace Cash & Carry pour les achats prêts à l’emploi destinés au renouvellement saisonnier de leurs vitrines.
Oroarezzo offre également des opportunités de formation technique et de perfectionnement professionnel aux entreprises du secteur. Certaines réunions approfondies sur les questions de chaîne d’approvisionnement sont prévues pour encourager la croissance des compétences et des connaissances du secteur, organisées avec la collaboration d’associations professionnelles, d’entreprises de premier plan, d’organismes et d’institutions de certification.
Enfin revient Première, le concours historique avec lequel Oroarezzo récompense les meilleures créations d’orfèvrerie présentées par les entreprises exposantes. Un événement qui, depuis 33 éditions, valorise le savoir-faire technique et les capacités créatives de l’orfèvrerie, appelé à interpréter un thème proposé par le directeur artistique Beppe Angiolini. La catégorie Talents a également été confirmée cette année, réservée aux étudiants et jeunes créateurs de moins de 30 ans.
Pianegonda a toujours le visage d’Anna Cleveland
Anna Cleveland revient porter les bijoux Pianegonda. Le mannequin américain est l’égérie de la nouvelle campagne publicitaire 2024 de la marque italienne spécialisée dans les bijoux créateurs en argent. Anna Cleveland avait déjà été choisie pour le début des nouvelles collections sculpturales de la marque qui fait partie du groupe Bros Manifatture conçu par la directrice artistique Betony Vernon. Le mannequin est désormais appelé à poser avec les créations de la collection Assoluto en argent, cuir, pierres et celles Assoluto Gold en or 18 carats et pierres précieuses, inspirées de l’énergie cosmique et de l’essence de l’univers.
Les bijoux, en plus d’être des pièces de créateurs, représentent des symboles tels que l’infini, la vie, l’amour et la chance. Les images de la nouvelle campagne de communication reprennent des clichés du photographe français Guillaume Thomas, avec Anna Cleveland représentée dans des poses plus ou moins audacieuses, entre raffinement et sensualité.